Pleine reconnaissance comme religion des TJ

http://www.lepost.fr/article/2011/07/11/2545474_les-temoins-de-jehovah-obtiennent-une-pleine-reconnaissance-en-tant-que-religion.html

La fin du monde étant annoncée dans peu de temps tout en sachant manipuler les dirigeants et les institutions, les témoins de Jéhovah en France ont enfin obtenu la pleine reconnaissance du statut de religion. Voir l’article ci-dessus.

Français ont vous a trompé !
Je vais recevoir un ministre, d'ici peu de temps, tout du moins je le pense, afin qu'il puisse déterminer ma condition et ma position envers le culte.
Je suis inactif donc non pratiquant, cependant le nouveau livre des anciens doit certainement prévoir une issue de secours pour les appauvris.
Je médite

Bonjour Lynx et tous
Tout depend de ce que l'on entend par ce mot " religion" a-t-il la même signification que le mot "peuple " voir Actes 15 : 14 et Ephesiens 2 : 12
Questions :
Une religion dispersée est -elle ecore une religion ?
Un peuple dispersé est -il un peuple ?
Une religion peut-elle apporter le salut ?
La parole démontre que seule la foi en un nom apporte le salut ( Actes 4 : 12 )
Jesus est celui qui rassemble le peuple que Dieu lui a confié , il ne crée pas une religion ; le vrai culte est celui décrit en Jacques 1 : 27 enrichi de Michée 6 : 8
A nous donc de discerner quelle est la volonté de Dieu car
«

Citation :

Il ne suffira pas de me dire : ‘Seigneur ! Seigneur !’ pour entrer dans le Royaume des Cieux ; entrera celui qui fait la volonté de mon Père des cieux. (Matthieu 7:21) bible des peuples

Une religion fusse - t - elle reconnue par César peut -elle nous sauver ? voir 1 Jean 5 : 19
La religion organisée sur le modèle de la cité est un composite du monde , seules les individualités façonnées sur le modèle de Christ feront l'objet de la considération du Pére
Appartenir à une religion, est-ce la démonstration de l'authenticité de notre foi ?
Dans le cas contraire , est-ce la démonstration de notre rejet par Dieu ?
A méditer
Amicalement

Je me suis arrêté sur deux des versets que tu cites!
Actes des Apôtres 15.14
Syméon a raconté comment Dieu a pris soin de choisir, pour la première fois, d'entre les païens un peuple qui portât son nom. Après que les deux missionnaires eurent achevé leur exposé, Jacques, Actes 12.17, qui exerçait une si grande influence dans l'Eglise de Jérusalem, prit la parole.
Il approuve d'abord l'exposé que Pierre (Syméon, selon l'ancienne forme hébraïque de son nom primitif) vient de faire, de la conversion des premiers païens ; il montre ensuite dans ce grand événement l'accomplissement de la parole prophétique ; Versets 16-18 enfin, il fait une proposition pratique qui puisse répondre au vœu de tous. Versets 19-21
Les termes par lesquels il exprime le fait de l'entrée des païens dans l'Eglise, sont remarquables : Dieu, dit-il pour la première fois, a pris soin de prendre du milieu des païens un peuple à son nom, c'est-à-dire qui portât ce nom.
Le terme de peuple n'était jamais donné qu'aux Juifs ; en l'appliquant aux nations païennes, Jacques les rend égales à Israël ; c'était, comme le remarque Bengel, "une énigme topique pour des oreilles juives." Romains 9.24-26

Ephésiens 2.12
Vous étiez en ce temps-là sans Christ, séparés de la république d'Israël et étrangers aux alliances de la promesse, n'ayant point d'espérance, et étant sans Dieu dans le monde. Voilà les grands privilèges spirituels auxquels les païens étaient étrangers, et sur lesquels se fondait le salut de tout Israélite éclairé et croyant : Christ, le Messie et Sauveur qu'annonçaient toutes les alliances de la promesse, désignées ainsi au pluriel parce qu'elles furent souvent réitérées, mais ayant toujours pour objet la même promesse du Sauveur qui devait venir.
L'état d'Israël était l'institution extérieure qui renfermait tous ces privilèges et tous les vrais croyants. Etrangers à cette communion, les païens n'avaient point d'espérance, précisément parce qu'ils n'avaient pas la promesse. Et par toutes ces causes, ils étaient sans Dieu (Grec : "athées") dans le monde, monde de ténèbres et de misères !

On pourrait penser que l'apôtre, par cette dernière déclaration, se met en contradiction, selon une certaine connaissance de Dieu, il attribue aux païens le fait historique que quelques-uns d'entre eux s'élevèrent au-dessus des superstitions du peuple jusqu'à une connaissance de Dieu plus pure. Il ne faut pas chercher à résoudre cette contradiction apparente en disant que Paul ne parle que des païens qui vivaient réellement dans l'aveuglement spirituel, et qu'il considérait un Socrate, un Platon comme n'étant plus païens.
Il parle de la totalité des nations étrangères aux privilèges du peuple d'Israël.
Mais ce qu'il y a à dire, c'est que la connaissance naturelle de Dieu, telle que nous la trouvons en quelques penseurs et quelques sages, ne saurait être comparée à celle qui régnait parmi les Juifs, parce qu'elle n'était point le résultat d'un enseignement divin et d'une communication de Dieu à l'homme, mais seulement la conclusion d'un raisonnement sur un Dieu inconnu, éloigné, conclusion tirée de la considération de la nature et de la conscience. Or Dieu, de l'aveu des anciens eux-mêmes, ne peut être vraiment connu que s'il se révèle. La connaissance que les païens avaient de Dieu, autant du moins qu'elle mérite ce nom, est donc plutôt négative que positive, et l'aveu de Socrate : Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien, en est l'expression exacte."
L'apôtre indique seulement de part ces versets, le moyen qui nous unit personnellement à Christ, de manière que cette transformation de notre être en lui ne soit pas seulement une image, une idée, mais une vivante réalité ; ce moyen, c'est la foi; cette foi, à son tour ; n'est point une notion de l'intelligence, mais une opération de Dieu en nous.
C'est ainsi qu'il faut entendre ces mots : la foi de l'efficace de Dieu, mots que Luther traduit : "la foi que Dieu opère.Les philosophes " Bengel, Olshausen, de Wette adoptent pareillement ce sens.

L'expression absolue de l'apôtre est applicable aussi à tous ceux qui, même au sein de la chrétienté, ne sont point éclairés dans leur vie intérieure par la révélation de la grâce de Dieu en Christ. Ne pas aimer Dieu, ne pas vivre pour lui, c'est n'avoir point de Dieu.

Spoiler:

Le mot religion vient du mot religare qui signifie relier.

La religion est donc un moyen pour l’homme de s’approcher de Dieu, d’être relié à lui.

Pour certains, tout ceci n’est qu’une sorte de fantasme, un héritage culturel de croyances irrationnelles.

Pour d’autres c’est une vérité, vécue de l’intérieure, dans une foi profonde et sincère.

Pour la majorité sans doute, la religion et parfois même sa religion, c’est surtout quelque chose de complexe, de difficile à comprendre.

A travers l’histoire, l’art, la politique, la loi, la religion est partout autour de nous, dans la société.

Mais elle n’est pas fixe contrairement à ce que l’on pourrait croire.

Elle évolue, elle est au cœur de polémiques, de réflexions qui agitent autant le sacré que le profane.

Notre ambition est de vous aider à mieux comprendre la religion et les religions, ce qui les unie et ce qui les sépare.

Ce qui les met sous le feu des projecteurs aussi, car le message véhiculé par les média est souvent biaisé par ce besoin d’audimat ou bien encore à cause de sa complexité.

Mon regard est de type universitaire, scientifique, rationnel.

Nous ne devons pas juger, mais nous essayons d’être justes et éclairés.

Donc, Gégé comme certains chrétiens sur ce forum distinguent ce que d’autres ne distinguent et ne voient pas.

Surprenant ! ? Non !

Le lynx