Examen de la lettre de Paul aux Romains chapitre 6

Thême ; La grâce délivre de l'esclavage du péché

1 Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché afin que la grâce abonde ?
2 — Qu’ainsi n’advienne ! Nous qui sommes morts au péché, comment vivrons-nous encore dans le péché ?

3 — Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés pour le christ Jésus, nous avons été baptisés pour sa mort ?

4-Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort, afin que comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.

5 Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance de sa mort, nous le serons donc aussi [dans la ressemblance] de [sa] résurrection ;

6 sachant ceci, que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché soit annulé, pour que nous ne servions* plus le péché.

7 Car celui qui est mort est justifié du péché*.

8 Or si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui,

9 sachant que Christ, ayant été ressuscité d’entre les morts, ne meurt plus ; la mort ne domine plus sur lui.

10 Car en ce qu’il est mort, il est mort une fois pour toutes au péché ; mais en ce qu’il vit, il vit à Dieu.

11 De même vous aussi, tenez-vous vous-mêmes pour morts au péché, mais pour vivants à Dieu dans le christ Jésus.

Pourquoi la grâce devrait  nous inciter a avoir une vie conforme à la volonté divine ?

supprimé

Bonsoir à tous

La grâce qui délivre du péchè

ROMAINS :6

Citation :

4-Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort, afin que comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.

5 Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance de sa mort, nous le serons donc aussi [dans la ressemblance] de [sa] résurrect

6 sachant ceci, que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le
corps du péché soit annulé, pour que nous ne servions* plus le péché

Pour le chrétien le processus de la sanctification n'est jamains terminé
tant qu'il esr sur la terre .
Pour bénéficier de la grâce ,sa vie doit être conforme à la volonté divine
1 se regarder comme mort quand au péché ,mais comme vivants pour Dieu et JC
Devenir ainsi une même plante avec lui par la conformité à sa mort et unis par la conformitè à sà resurection verset 4 , 5
Laissant ainsi derriére lui le vieil homme qu'il était l'orsqu'il était sous l'emprise du péchè un ennemi de Dieu un impie sans force un pêcheur
il est revenu à la vie ,et c'est pour Dieu qu'il vit et de ce fait il se rends compte qu'il en fait une vie nouvelle glorieuse en JC

Ephésiens:2

Citation :

4-Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort, afin que comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie.
5 Car si nous avons été identifiés avec lui dans la ressemblance de sa mort, nous le serons donc aussi [dans la ressemblance] de [sa] résurrection ;

6 sachant ceci, que notre vieil homme a été crucifié avec lui, afin que le corps du péché soit annulé, pour que nous ne servions* plus le péché.

Affection fraternelle
el








[b]

supprimé

Certains pourraient penser que le fait d'etre gracié ;les autoriseraient à abuser de cette grâce ; pour que celle ci surabonde ;

'(c'est pas grave puisque Dieu pardonne )pourrait -être le leitmotiv

Cela seraitinsnsé et une absurdité , qui au lieu de combattre le pache , le favoriserait .

Ce n'est donc pas ce que Paul enseigne ;

Ce que Paul , veux nous faire comprendre est qu'en ayant part à le mort de Christ , nous sommes par sa resurrection introduit dans la grâce de Dieu en vertu du sacrifice de Christ et de son obeissance à la loi

Paul nous apprend que par le baptême nous somme ensevelis en Christ et que de ce fait , nous avons part à sa mort

Posons nous donc la question suivante

Pouvons nous vivre dans le peche , puisque nous sommes mort quand au peché ?

Ce serait une contradiction flagrante



Etant baptisés au nom de Christ , c'est pour avoir part avec lui ( selon la vérité qui est contenue dans la révélation que nous avons de Lui), nous avond donc part à sa mort , c’est là que cette justice par laquelle Christ comparaît devant Dieu, et nous par lui, a été accomplie).



C'est au péché que Christ est mort : en mourant, il en a fini avec le péché pour tout jamais, il est sorti de la condition de la vie dans la chair et le sang ;

vie dans laquelle Celui qui était sans péché, venu en forme de chair de péché et comme sacrifice pour le péché, a été fait péché pour nous .

Nous avons donc été ensevelis avec Christ par le baptême pour la mort (v. 4)

C’est-à-dire nous avons part à la mort, nous y entrons, par le baptême qui la représente), «afin que, comme Christ a été ressuscité d’entre les morts par la gloire du Père, ainsi nous aussi nous marchions en nouveauté de vie» comme par une nouvelle naisance .

En un mot, nous participons à cette justice divine parfaite, etant gracie par le foi dans le sacrifice de Jesus , ayant ete enseveli avec lui nous smmes mort quant au péché :

C’est pourquoi on ne peut dire que le fait d’avoir part à cette justice conduise les hommes à vivre dans le péché.

. Nous ne pouvons pas mourir quand au peche pour y vivre de nouveau . La justification, telle que l’apôtre l’enseigne, rejette elle-même, comme un non-sens absolu, le raisonnement de la chair qui, sous prétexte de justice, ne veut pas reconnaître le besoin que nous avons de la grâce

Romains 6,7

Citation :

Car celui qui est mort est justifié du péché

Certains ont tiré ce verset de son contexte pour enseigner que lors de la résurrection générale, les morts ramenés à la vie ne seraient plus jugés pour leurs fautes commises de leur vivant puisque par leur mort, ils auraient déjà payé pour leurs péchés et en seraient donc quittes - alors que la Bible dit clairement que "des livres furent ouverts... et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres" - Apocalypse 20,12. Pour justifier cette interprétation, on invente "des rouleaux" supplémentaires à la Bible qui seraient ouverts pendant les 1000 ans et auxquels les ressuscités devraient se conformer alors pour être approuvés.

Lorsque Paul écrit : "car celui qui est mort est justifié du péché", de qui parle-t-il ? Si les lecteurs et participants du forum veulent bien relire le contexte de Romains 6,7 ils constateront aisément que l'apôtre parle ici de "ceux qui sont morts en Christ et qui marchent maintenant en nouveauté de vie et dont le vieil homme a déjà de leur vivant été crucifié avec lui. Ils sont donc morts au péché mais vivants à Dieu dans le Christ Jésus!" Romains 6,7 s'applique donc uniquement aux chrétiens déclarés justes par la grâce de Dieu sur la base de leur foi en Jésus-Christ! Paul a largement développé cet enseignement de la justification dans les chapitres précédents et il nous montre encore toujours les bienfaits qui en découlent pour les chrétiens déjà de leur vivant. Ceux-là ne passeront même plus en jugement puisque Jésus a dit :

Citation :

... celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, il est passé de la mort à la vie. - Jean 5,24

verset 3 : Le Baptême en Christ

La finalité du baptême en Christ est en autre de faire partager la destinée du Christ et d’unir le baptisé en Christ.
Cet objectif est souligné par une série de termes composés avec la préposition « avec »

Citation :

- 8 Or si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui,
- 4 Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême, pour la mort,
- 6 sachant ceci, que notre vieil homme a été crucifié avec lui,

(plus d’autres versets selon les autres versions de la Bible).

Cela évoque le fait d’une croissance commune parce que les deux êtres sont animés d’une même vie. Ainsi, le chrétien est assimilé au Christ parce qu’il meurt comme lui et ressuscite comme lui.

Citation :

- 5 Car si nous nous sommes unis à lui dans la ressemblance de sa mort, à coup sûr nous serons aussi [unis à lui dans la ressemblance] de sa résurrection

Le baptisé participe à la vie du Christ, il devient membre de son corps. Il vit ce que le Christ vit.

Le caractère de cette nouvelle vie dans laquelle la résurrection nous introduit, est présenté ici d’une manière frappante.

Christ avait parfaitement glorifié Dieu en mourant — aussi, même en mourant, . [6:4]

La résurrection était aussi une nécessité de la gloire de Dieu le Père. Dieu était obligé pour sa gloire même à ressusciter Christ d’entre les morts (comme Christ avait glorifié tout ce qui est en Dieu, sa justice, son amour, sa vérité, sa puissance). La gloire de Dieu était engagée dans sa résurrection, comme ne devant pas laisser la victoire à la mort, dans la personne de Celui qui était fidèle ;
Christ a donc été ressuscité par la gloire du Père ; . Étant entré dans une position toute nouvelle, fruit de l’opération de cette gloire, cette position est le modèle et le caractère de la vie de laquelle nous vivons .

[[size=12]Christ glorifié, révélation et manifestation de la gloire de Dieu][/size]

Sans cette manifestation de sa gloire en Christ, Dieu, tout en agissant et en donnant des témoignages de sa puissance et de sa bonté, restait voilé et caché. En Christ glorifié, centre de tous les conseils de Dieu, nous voyons la gloire du Seigneur à face découverte [(2 Cor. 3:18)], et toute bouche reconnaîtra que Jésus Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père [(Phil. 2:11)].
La vie nouvelle du chretien doit refléter la gloire du Seigneur
[6:4] Notre vie doit être le reflet pratique de cette gloire du Seigneur dans le ciel. La puissance qui nous associe à Lui dans le ciel et agit encore en nous, est développée à la fin du chapitre 1 de l’épître aux Éphésiens [(v. 19-23)], mais, dans cette épître, avec le but d’introduire notre résurrection avec Christ. Ici il s’agit de la résurrection de Christ lui-même, de la résurrection en elle-même, de ses conséquences et de sa portée morale à l’égard de l’homme vivant ici-bas, envisagé individuellement et en vue de ses relations avec Dieu, comme homme responsable. La vie du chrétien est une vie toute nouvelle : nous sommes vivants quand à Dieu [(6:10)].

bonjour à tous
Il n'est pas de plus grand privilége que de vouloir faire la volonté de son créateur ,qui lui même n'a pas hésité à donné son fils
Jean 3 16

Citation :

Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle.
17 Car Dieu n'a pas envoyé son Fils dans le monde afin qu'il jugeât le monde, mais afin que le monde fût sauvé par lui.
18 Celui qui croit en lui n'est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.

En mourant injustement pour les péchés ,jésus racheta l'humanité donnant ainsi la vie à tous ceux qui désirent faire la volonté comme le dit Paul

Romains 6:11  

Citation :

De même vous aussi, tenez-vous vous-mêmes pour morts au péché, mais pour vivants à Dieu dans le Christ Jésus.avec Christ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi; - et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au fils de Dieu, qui m'a aim

Galates 2:20

Citation :

20 Je suis crucifié avec Christ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi; - et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au fils de Dieu, qui m'a aimé et qui s'est livré lui-même pour moi.

rendons grâce a Dieu et a son fils jésus christ pour les dispositions prisent a notre encontre ,dispositions qui nous permettent de nous rétablir ,et nous donne l'assurance de pouvoir vivre éternellement à leurs côté si nous sommes fidéles
bien a vous

Citation :

- 11 De même vous aussi, tenez-vous vous-mêmes pour morts au péché, mais pour vivants à Dieu dans le christ Jésus.

Cela me fait penser au texte de Jean chapitre 8:24 >

Citation :

Je vous ai donc dit : Vous mourrez dans vos péchés. Car si vous ne croyez pas que je suis [lui], vous mourrez dans vos péchés. ”

Les Pharisiens, ayant rejeté Jésus, n'ont pas pu être reconnus justes aux yeux de Dieu et leur péché leur a été compté.

C'est ainsi donc que la foi en Jésus Christ et dans son sacrifice nous permet d'être vivants aux yeux de Jéhovah et de son Fils, outre les efforts à fournir.

Romains 6,3-4
Pour comprendre ce passage, il est utile de comparer ce texte avec une autre traduction :

Citation :

Ou bien ignorez-vous que, baptisés dans le Christ Jésus, c'est dans sa mort que tous nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême dans la mort, afin que, comme le Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, nous vivions nous aussi dans une vie nouvelle - Jérusalem

Ce baptême rendu possible par l'Esprit nous enterre dans la mort du Christ quant au vieil homme, ce qui signifie que nous sommes morts avec lui. En même temps, cela signifie que nous sommes unis à la vie du ressuscité Jésus-Christ, que sa vie est maintenant notre vie, comme il est écrit :

Citation :

Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu. Quand le Christ qui est notre vie, sera manifesté, alors vous aussi, vous serez manifestés avec lui en gloire - Colossiens 3,3-4.

Romains 6,12-14

Citation :

12 Que le péché donc ne règne point dans votre corps mortel pour que vous obéissiez aux convoitises de celui-ci ;
13 et ne livrez pas vos membres au péché comme instruments d’iniquité mais livrez-vous vous-mêmes à Dieu, comme d’entre les morts étant [faits] vivants, — et vos membres à Dieu, comme instruments de justice.
14 Car le péché ne dominera pas sur vous, parce que vous n’êtes pas sous [la] loi, mais sous [la] grâce

En disant "donc", Paul tire maintenant une conclusion suite au raisonnement exposé dans les versets précédents. Le résultat de tout ce qui a été pris en considération, c'est que le péché ne devrait pas être autorisé par notre volonté à régner sur nous car l'obéissance est une question de volonté.

Nous parlons souvent de la liberté dans le forum chrétien.
Mais il faut se rendre à l'évidence, la liberté totale de jouir du péché d'une part et de pratiquer en même temps la justice d'autre part n'est pas possible. La liberté telle qu'elle est conçue par Dieu comprend des restrictions car qui dit justice dit lois ou principes. Pour qui aime la justice, ce n'est pas un problème puisqu'au-delà des limites fixées par Dieu il y a le danger de se corrompre par la transgression, le péché. Il nous faut donc faire un choix.
Le chrétien a fait son choix :celui de faire la volonté de Dieu. Étant renouvelé quant à son esprit mais vivant toujours dans un corps imparfait, il est conscient qu'il doit livrer un combat permanent, épuisant, pour s'efforcer de maîtriser celui-ci, de l'assujettir à sa volonté instruite par la parole de Dieu. C'est pourquoi Paul entre maintenant dans le détail en parlant des membres du corps qui sont les instruments du péché (ou de la justice!). L'œil voit quelque chose de désirable mais interdit par la justice divine. Les membres du corps convoitent l'objet du désir. Le cœur a son mot à dire; de quel côté va-t-il pencher ? Je ne veux pas devancer Paul qui nous parlera au chapitre 7 de son expérience personnelle du combat entre la chair et l'esprit dans lequel il a, lui aussi, parfois perdu une bataille. Mais comme dans le cas de Paul, le péché ne dominera pas sur nous si nous apprécions la grâce de Dieu qui, sur la base de notre foi en Jésus-Christ, nous justifie.

De quelle manière la grâce rend libre du péché sera exposé par Paul dans les versets suivants.

Citation :

- 16 Ne savez-vous pas qu'en vous mettant au service de quelqu'un comme des esclaves pour lui obéir, vous êtes effectivement les esclaves du maître à qui vous obéissez: ou bien du péché qui entraîne la mort, ou bien de l'obéissance qui conduit à une vie juste

Car comme le dit : Matthieu 6:24 >

Citation :

Personne ne peut travailler comme un esclave pour deux maîtres ; car ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre.

Si nous choisissons le péché, nous livrons comme esclaves à un maître qui nous battra, qui rendra notre vie misérable et nous conduira à la mort.
C'est un ennemi auquel nous devons résister. Si nous ne lui résistons pas, il ne fait qu'empirer, il devient un mal toujours croissant.
Si nous choisissons d’esclave de l'obéissance, les récompenses sont de loin supérieures, non seulement dans la vie future, mais dans celle-ci également.

Citation :

- 20 Lorsque vous étiez encore esclaves du péché, vous étiez libres par rapport à la justice.

Chaque esclavage comporte une forme de liberté. Mais, c’est une fausse liberté, un leurre car elle nous rend prisonnier de passions coupables qu’il est difficile après de s’en détacher.
Cela me fait penser à ce qu’un frère m’a dit il n’y a pas longtemps : « Quand on ouvre une porte, il est difficile de la refermer totalement ».

Citation :

- 21 Quel était donc le fruit que vous aviez alors ? Des choses dont vous avez honte maintenant.

Lorsque nous prenons conscience du péché commis, il en résulte un malaise, un problème de conscience. C’est un poids supplémentaire.

Alors Pourquoi devrions-nous refuser de pécher et obéir à Dieu?

Citation :

-23 Car le salaire que verse le péché, c'est la mort, mais le don gratuit que Dieu accorde, c'est la vie éternelle dans l'union avec Jésus-Christ notre Seigneur"

Romains 6

Citation :

14 Car le péché ne dominera pas sur vous, parce que vous n'êtes pas sous la loi, mais sous la grâce.

La grace divine faveur ou don gratuit accode aux humains en dehors de tous merites personnel

Citation :

15 Quoi donc! pécherions-nous, parce que nous ne sommes pas sous la loi, mais sous la grâce

?

Dieu ne nous a pas donner une assurance garantissant l'impunité ,

Citation :

16 -Qu'ainsi n'advienne! Ne savez-vous pas qu'à quiconque vous vous livrez vous-mêmes comme esclaves pour obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché pour la mort, soit de l'obéissance pour la justice.

L peche na plus de pouvoir sur le chretien car desormais il appartient à Christ pour lla justice , il est un homme nouveau regenéré

Citation :

17 Or grâces à Dieu de ce que vous étiez esclaves du péché, mais de ce que ensuite vous avez obéi de coeur à la forme de doctrine dans laquelle vous avez été instruits.

l'obeissance à la loi de Christ amene a la sanctification pour la vie eternelle c'est le don gratuit de Dieu !

Dans sa vie d’ici-bas,Jesus a servi Dieu parfaitement, et vivait par le Père ; et chacun de ses pas était parfait, car il avait Dieu son Père toujours présent devant son esprit ; mais tout autour de lui, il trouvait le péché, et il avait à faire avec le péché ; il était pressé par lui et affligé, un homme de douleur à cause du péché ; il a dû être fait péché pour nous — parfait toujours en amour, manifestant Dieu, parfait en obéissance comme homme venu pour faire sa volonté. Toutefois il est venu au sujet du péché et a nécessairement été assailli de toutes parts par lui et finalement, comme , il a dû être fait péché pour nous, quand il a été parfaitement démontré sans péché Lui-même, lui «qui n’a pas connu le péché».

Mais maintenant, ilen a fini avec le péché pour toujours. Il est mort au péché ici-bas ; en accomplissant parfaitement son oeuvre, il a passé par la mort (hors de la scène tout entière dans laquelle il a eu à faire avec lui Hors du monde), dans la résurrection, dans un nouvel état, où en pensée, , il a à faire, avec Dieu seul : «En ce qu’il vit, il vit à Dieu».

Il n’y a rien, là où il est, qui ne soit rempli par Dieu, et tellement rempli, que rien d’autre ne peut y avoir place pour ce qui sert sa gloire. Ce n’est pas seulement de la perfection de son propos qu’il s’agit (ce propos a toujours été aussi parfait que sa marche ; — dans ce sens il a vécu toujours à Dieu et pour Dieu ),

Sa mort a été un acte unique, dans lequel il est mort au péché ; sa vie, un présent perpétuel, dans lequel Dieu remplit tout,

De même, nous aussi, nous devons nous tenir nous-mêmes pour morts, notre vieil homme étant crucifié avec Christ — pour morts au péché, et vivants à Dieu par Lui. Cette vie dont nous vivons est une vie nouvelle et libre, car le Chretien est en droit de se tenir lui-même pour mort au péché : c’est sa condition et sa place comme Chretien de faire ainsi.

Si nous sommes vivants, nous sommes vivants à Dieu, non par Adam en aucune manière, mais par Jésus Christ notre Seigneur. La vie dont nous vivons est ainsi entièrement nouvelle, , nous tenant pour morts au péché, nous sommes entièrement libres.

Ce n’est pas la chair n’ait pas ses convoitises ; mais le Chretien comme tel, ne le laisse pas régner dans son corps pour obéir aux convoitises de celui-ci, voyant qu’il est libre dans la puissance d’une vie nouvelle ; car ainsi le Chretien est tenu pour libre de marcher dans la puissance et selon principes qui appartiennent à cette vie nouvelle.

Il tient les rênes, et ne permet pas au péché de se servir de son corps pour la satisfaction de ses convoitises, de se desirs .

Cet homme libre ne livre pas non plus ses membres comme instruments d’iniquité au péché, ce mal dont il était jadis l’esclave : il se livre lui-même à Dieu, comme d’entre les morts étant fait vivant, quant à sa vie née d’Adam, il est mort au péché, mais vit maintenant, et se livre lui-même et ses membres à Dieu, comme instruments de justice.

Le péché ne dominera pas sur nous, parce que nous ne sommes pas sous la loi, mais sous la grâce (v. 14).

Comprendre celà est vital pour le chretiens. La loi me la rend esclave d du péché.

Ce dont nous avons besoin, c’est d’une vie libre, libre de la servitude du péché, car «quiconque pratique le péché», dit le Seigneur, «est esclave du péché» (Jean 8:34). La loi ne donne ni vie, ni liberté ni force, ni même une force qui puisse tourner nos coeurs d’un autre côté ; elle codamne justement et nécessairement les péchés, mais elle ne donne ni vie, ni pouvoir pour le bien.sous la loi nous sommes morts

Mais sous la grâce, nous avons de la puissance : la grâce nous donne la vie, elle nous donne la force, et elle nous donne un but, ce que la loi,ne donne pas .

Ainsi, sous la grâce, le péché ne domine pas sur moi ; sous la loi, il domine. Il est beau de voir comment, alors que tout est grâce, nous sommes cependant appelés à nous livrer nous-mêmes à Dieu, ce qui est la vraie liberté, dans laquelle le péché ne domine pas sur nous, la puissance vient d’en haut, nous sommes réellement affranchis et libres de faire volontairement volonté de Dieu.

Ici Paul traite de la liberté, et le discute — cette liberté n’est pas dans le vieil Adam pécheur ; mais parce que je suis vivant à Dieu par Jésus Christ, je suis libre.

La loi condamne le péché et la convoitise, mais elle ne délivre pas.

Hors si je ne suis pas sous la loi ; je suis affranchi de la domination du péché parce que je ne suis pas placé sous la loi, mais sous la grâce. Pécherai-je donc parce que je ne suis pas sous une loi qui défend le péché, et qui me maudit si je le commets? Qu’ainsi n’advienne ! dit Paul

Maintenant l’apôtre en revient au grand principe de la condition des Gentils. Si je me livre moi-même au péché comme esclave pour lui obéir, je suis l’esclave du péché ; et le péché a régné pour la mort, sans qu’il y ait de loi : la mort était la demonstration du péché, comme jugement de Dieu. «Ne savez-vous pas qu’à quiconque vous vous livrez vous-mêmes comme esclaves pour obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché pour la mort, soit de l’obéissance pour la justice».

Nous ne pourrions pas dire «obéissance pour la vie» ; car si nous obéissons, nous sommes vivants à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur, et nous avons notre fruit dans la justice pratique. Remarquez ici le caractère de ce qui est mis en opposition avec le péché : ce n’est pas la justice en elle-même — faire le bien tel qu’il est connu par la conscience ou par la loi — mais par l’obéissance : nous sommes vivants pour Dieu, .

Pour plaire à Dieu nous ne pouvons pas vivre autrement que dans l’obéissance.

C’est ainsi que Christ vécut : il fut obéissant ; il vint pour faire la volonté de Dieu ; la volonté de son Père était le motif de tout ce qu’il faisait ; il vivait de toute parole qui sortait de la bouche de Dieu ; son sentier par conséquent était la justice pratique, et le modèle ou la parfaite expression de cette justice.

Ainsi l’apôtre rend grâces à Dieu de ce que, alors qu’ils se chargeait des peche de l'humanité, ils avaient obéi de coeur

Nous apprenons ici la source et le caractère de cette obéissance : elle est «l’obéissance de la foi», la réception de la parole de Dieu dans le coeur. La parole ainsi reçue forme le lien d’obéissance entre l’être et Dieu.

La même de la parole dans notre coeur communique la vie : «De sa propre volonté, il nous a engendrés par la parole de la vérité, pour que nous soyons une sorte de prémices de ses créatures» (Jacq. 1:18). C’est la vraie vie une vie obéissante — en réalité, la vie de Christ est en nous ; et Christ est l’homme obéissant. Ainsi : «affranchis du péché», car c’est le grand point que l’apôtre fait ressortir ici, ceux qui croyaient, se livrant eux-mêmes pour obéir, étant devenus asservis à la justice. (L’apôtre parle d’asservissement à un point de vue figuré dont il s’excuse pour ainsi dire, parce que cet «asservissement» est la vraie liberté ; mais il parle ainsi, afin de rendre sa pensée claire pour la faiblesse de l’intelligence de la chair) ; car ainsi qu’ils avaient livré jadis leurs membres comme esclaves à l’impureté et à l’iniquité, seulement pour être libres de tout frein, pour donner libre carrière à une volonté mauvaise qui ne portait pas de fruit, ainsi maintenant il les exhorte à livrer leurs membres —( car ils étaient libres) — comme esclaves à la justice. Mais ici il y avait un bienheureux résultat — voir Colossiens 3:10, et Éphésiens 4:23, 24,

L’apôtre poursuit la figure qu’il a employée et il fait appel au sentiment qu’ils avaient de ce qui s’était passé : ils avaient été esclaves du péché, mais libres à l’égard de la justice (v. 20) : quel fruit donc avaient-ils alors des choses dont maintenant ils avaient honte? Ils n’avaient fait qu’user inutilement de leurs membres dans l’indépendance ; — et la fin de ces choses était la mort.

Mais maintenant, ayant été affranchis du péché (c’est là comme nous l’avons vu le grand sujet qui occupe l’apôtre), c’est-à-dire affranchis de la servitude du péché, n’étant plus ses esclaves (les paroles de l’apôtre n’ont pas d’autre sens ici) et ayant été asservis à Dieu, entièrement livrés à lui comme esclaves pour le servir, ils ont leur fruit dans la sainteté ; qui débouche sur la vie éternelle, ils croissaient dans la connaissance de Dieu, dans sa ressemblance et dans la séparation volontaire d’avec tout mal Par amour pour le Pére , et pour son FIls aimant . En marchant ainsi dans le chemin de l’obéissance à Dieu, , nous sommes délivrés de la puissance du mal,

Cette croissance dans la connaissance de Dieu, et dans l’intimité avec Lui est un immense privilège. , nous croissons dans sa connaissance, nous vivons davantage selon les choses qui luisont agrables ,qui font Son plaisir ; .

L’obéissance est le sentier dans lequel de saintes affections, qui ont leur source en Dieu et qui sont libres devant Lui, sont trouvées.

La «fin», c’est la vie éternelle, , cl'est le don de Dieu. Le chemin qui y mène est le chemin de l’obéissance et de la sainteté ; mais elle-même, elle est le don de Dieu.

La mort, nous l’avons amenée sur nous ; — elle est le resultat du péché ; — mais le don de Dieu c’est la vie éternelle par le Christ Jésus notre Seigneur (v. 23). Ce n’est pas seulement que la vie éternelle est le don de Dieu ; mais le don de Dieu n’est rien de moins que la vie éternelle.

La mort est intentionnellement envisagée dans son simple caractère de mort. Sans doute elle est le jugement du péché ici-bas dans ce monde, et elle implique, à moins que la rédemption n’intervienne, le jugement qui vient après ; elle est l’effet présent du jugement contre le péché, elle est le témoin du péché, pour nous conduire au jugement selon la colère révélée du ciel ; — elle est la fin de la vie, le resultat du peche ; elle mène au jugement,de ceux qui ne saisssent pas l'oprotunité qui leurs et efferte .



Avant d’aller plus loin, récapitulons cet important chapitre. Nous avons vu, en premier lieu, en réponse à la question : «Demeurerions-nous dans le péché?» que nous avons part à la mort, la mort de Christ, pour être justifiés ; pas pour continuerà péché, mais tout le contraire.

Christ est mort, et nous nous tenons nous-mêmes pour morts (comparer 1 Pierre 2:24 ; 4:1),

En mourant en Christ nous ressuscitons egalement avec lui et nous sommes vivants quand à Dieu, et entrons dqns une nouvelle vie.:

Nous avons à nous tenir nous-mêmes pour morts quand au peché , et pour vivants quand à Dieu par Jésus Christ.

Mais ici se présente une difficulté. Nous ne sommes pas réellement morts, quoique nous soyons appelés à nous tenir pour tels : comment donc pouvons-nous être affranchis de la puissance du péché?

Ceci amène le contraste avec la loi. La loi ne donnait pas la puissance sur le péché dans la chair ; elle codamnait son activité et ses fruits comme elle devait le faire, mais elle n’en délivrait nullement, ni ne donnait aucune puissance contre lui.

Mais le péché ne dominera pas sur nous, qui croyons, parce que nous ne sommes pas sous la loi, mais sous la grâce ; et la grâce donne de la puissance et délivre : je ne dois pas laisser le péché régner ; — et cela m’affranchit de sa domination. Je suis affranchi du péché, c’est-à-dire délivré de l’esclavage du péché ; et étant libre, je dois me livrer moi-même à Dieu et à la justice, et mes membres, jadis les instruments de mes convoitises, deviennent instruments de justice. C’est la liberté de la grâce, celle des enfants de Dieu !

C e qui en ressort est celà : Christ étant mort, nous aussi nous nous tenons nous-mêmes pour morts, comme si nous étions réellement morts.

Le «moi», est mort : moi, je suis mort, j’ai été crucifié, avec Lui, et comme chrétien je ne reconnais plus du tout la chair comme étant en vie. Je parle de tout ce qui est arrivé à Christ, comme si cela m’était arrivé à moi, parce qu’Il est devenu ma vie et je vis par Lui.

Je parle comme un fils dont le père n’aurait pas seulement payé les dettes, mais qu’il aurait fait son associé, et qui dit : «notre capital, nos relations», parce le chretien est associé, quoiqu’il n’ait rien apporté, tout ayant été fait et acquis avant qu’il devienne associé : ,

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