Novosibirsk| Dr. Dimitri Yusrokov Slamini de
l’Institut Russe de Médecine à
Novosibirsk et son équipe ont découvert un vaccin qui pourrait empêcher l’homosexualité de se développer chez les enfants. Plus tôt l’enfant est vacciné, moins il aurait de chances de devenir
homosexuel.Les scientifiques russes ont travaillé sur base d’une étude de 1959 publiée sous le titre « Homosexualité: Psychiatrie, maladie ou génétique ? » du docteur
H. Schwartz, qui affirmait que l’homosexualité n’est qu’une maladie traitable comme la grippe ou la rubéole.
«Les
xénodioestrogènes sont un type de mimétiques oestrogènes trouvé dans les composés chimiques naturels ou synthétiques. Les xénodioestrogènes synthétiques comme les PCB, BPA et phthalates ont prouvé avoir des effets oestrogéniques sur les organismes vivants et perturbent positivement le système endocrinien» explique le Dr. Yuri Krutchev, qui a pris part à l’expérimentation.
L’injection spécifique de testostérone aide à empêcher le développement artificiel de désordre endocrinien qui serait la cause principale du début de la maladie Cette grande avancée a attiré de nombreuses critiques du monde lesbien, gay, bisexuel et transgenre (LGBT). Certains gouvernements à la politique ferme auraient déjà pré-commandés plusieurs milliers de vaccins, notamment une commande groupée des pays suivants:
Afghanistan, Arabie saoudite, Iran, Mauritanie, Soudan et Yémen. Ces 7 pays condamnent encore l’homosexualité à la peine de mort et semblent donc préférer prévenir que guérir. La Chine serait également intéressée par l’acquisition de ces vaccins mais attendrait d’en voir les effets positifs.
Les premières livraisons seront effectuées dès la fin du mois de juillet. Les premiers résultats devraient donc pouvoir être récoltés dans quelques années.
Le vaccin sortira également dans le commerce sous forme de suppositoires.
La plupart des chercheurs américains et européens sont très sceptiques par rapport à cette découverte mais le climat politique n’y est probablement pas étranger.
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