Patoune
Nombre de messages : 3313 Localisation : France Date d'inscription : 17/03/2006
| Sujet: 800 160 30 000 11 4 Lun 4 Jan 2010 - 19:13 | |
| Eh non, ce ne sont pas les numéros du loto 800 mètres et 160 étages et 30.000 appartements, voici la tour de tous les records : http://www.lepoint.fr/actualites/2010-01-04/burj-dubai-la-tour-de-tous-les-records/914/2/1455/3/#newdiapo Genèse 11:4 > Puis ils dirent : “ Allons ! Bâtissons-nous une ville et aussi une tour dont le sommet soit dans les cieux, et faisons-nous un nom célèbre, de peur que nous ne soyons dispersés sur toute la surface de la terre. | |
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Pénélope
Nombre de messages : 459 Localisation : sud ouest Date d'inscription : 27/06/2009
| Sujet: Re: 800 160 30 000 11 4 Mar 5 Jan 2010 - 7:33 | |
| BONJOUR PATOUNE? j'ai eu la même pensée que toi quand j'ai entendu le descriptif de la tour de doubai. La nouvelle tour de babel. Je leur souhaite bien du courage à ceux qui pensent égaler Dieu. Seul le nom de Dieu est une tour forte ou le juste peut se réfugier. PROVERBE 18/ V 10. Le nom de l'Éternel est une tour forte; Le juste s'y réfugie, et se trouve en sûreté. | |
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Gégé2 Admin
Nombre de messages : 10988 Localisation : Europe Date d'inscription : 29/03/2006
| Sujet: Re: 800 160 30 000 11 4 Mar 5 Jan 2010 - 8:42 | |
| Bonjour à tous , Un paralléle interressant peut être fait entre ces réalisation qui exprime une volonté de pouvoir , et de puissance , que ce soit le fait de nations tres developpées , ou de petit pouvoir regionnaux comme c'est le cas des emirats qui s'enrichissent et participent à la destruction de la terre en exploitant à outrance l'energie fossile . Les tours sont des symboles , celle de babel etait celle de l ' independance face à la volonté divine , qui ordonnait aux humains de se repandre sur la surface de la terre , et non de se cantonner dans des villes . Aujourdh'ui , les tours sont innofensives , par contre des tours et des villes invisibles se construisent , pour faire opposition au gouvernement divin , son royaume etabli dirigé par Jesus , ce sont toutes les organisations religieuses ou non qui se dresse soit par leurs enseignement mensongers , soit par l'exploitations sans limites des ressources de la terre , soit pour conquerir l'espace , tous ces systémes sont decrits dans la bible comme etant le Faux prophête , et la bête sauvage nous connaissons leur destination elle sera selon la volonté de Dieu décrite selon Apocalypse 20 : 10 Fraternellement _________________ Ayez la vérité comme ceinture (Ephésiens 6)
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Aline
Nombre de messages : 224 Date d'inscription : 04/07/2009
| Sujet: Re: 800 160 30 000 11 4 Mar 5 Jan 2010 - 16:35 | |
| Il me vient à la pensée que ces esprits qui agissent ainsi sont de plus en plus éloignés de la pensée de Dieu.
Apocalypse 22 : 11 que celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille encore; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint se sanctifie encore. | |
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Elisa
Nombre de messages : 1723 Localisation : france Date d'inscription : 08/12/2006
| Sujet: Re: 800 160 30 000 11 4 Mar 5 Jan 2010 - 17:53 | |
| bonsoir a tous Dubaï et ses tours : et la folie des grandeurs vraiment c'est le péchè d'arrogance qui pousse toujours plus et a controler toujours moins, bien qu'il se rapproche du ciel il s'éloigne de Dieu la chute vas faire mal l'orgueil précède le désastre Prov 16.18 _________________ | |
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Samuel
Nombre de messages : 117 Date d'inscription : 18/08/2009
| Sujet: Re: 800 160 30 000 11 4 Mar 5 Jan 2010 - 19:46 | |
| Bonjour vous - Spoiler:
Après Dubaï, à qui le tour ? 2 décembre 2009, 06:02 | Eric La quasi faillite de Dubaï n’a pas créé de panique sur la planète financière. Mais l’euphorie des derniers mois laisse place à un sérieux doute.
Quel pays va mettre les clés sous la porte comme l’Émirat vient de le faire ? La Grèce, l’Irlande ? L’Espagne, l’Italie ? Les pays de l’Est européen ? L’examen se fait précis : il s’agit non pas seulement de savoir si ces pays ont les capacités financières de rembourser. Analyse économique classique. Mais de savoir si leur gouvernement a les moyens politiques d’imposer à sa population les mesures d’austérité qui en découleront.
Dubaï a été une surprise : tout le monde savait que la ville-État construisait son futur, mi-Singapour, mi-Miami, à coup de crédits. Tout le monde pensait que construire des Marina en forme de palmier pour que les Britanniques viennent y attraper des coups de soleil, était périlleux.
Et cette tour de 810 mètres, la plus haute du monde : depuis la tour de Babel, l’histoire a montré que dès qu’un pays se plaît à monter ses tours plus hautes que les autres, il tombe (Babel, le Chrysler Building qui a été terminé un jour avant le jeudi noir de 1929, Singapour avant la crise asiatique…)
Dubaï : un subprime ? Les marchés financiers le savaient. Que l’émir Al-Maktoum ait à faire face un jour à un problème d’endettement, tout le monde s’en doutait.
La surprise est venue de l’inaction des Émirats Unis, qui a contraint les autorités de Dubaï de différer de six mois la dette de Dubaï World, un de ses fonds publics. Certes, ensuite, une fois que l’odeur de brûlé avait fait le tour du monde, les banques centrales locales ont agi. D’où le calme revenu dès le lendemain sur les marchés mondiaux.
Mais les investisseurs internationaux n’ont pas compris pourquoi Khalifa Al Nahyan d’Abou Dhabi a pris le risque de ne pas venir immédiatement au secours du cousin. L’opacité et la complexité des circuits financiers de la région ne les ont pas aidés à percer le mystère.
Mais la vraie raison est historique et politique, relative à la préséance au sein des Émirats. Et voilà qui cause le trouble : la politique, la petite politique parfois, fait basculer les tours les plus hautes. L’ordre économique ne résiste pas à la beauté du nez de Cléopâtre. Et ce nez fait peur aux banquiers.
Dubaï n’aura pas créé de panique faisant replonger l’économie mondiale. Juste un avertissement. Mais il a été entendu. Au sein des marchés financiers, le doute est profond : et si la reprise depuis six mois n’était pas solide ?
Les banquiers traînent les pieds pour adopter les régulations du G20 et, dans le même temps, leurs traders sont repartis comme avant dans la course pour inventer, titriser et multiplier les produits miracles. La liquidité, redevenue abondante, le leur permet. Et si le retour à ces pratiques financières d’avant-crise des banques n’était pas synonyme de la «sortie de crise», mais de la préparation de la suivante ? Dubaï vient de leur brûler les moustaches et de leur montrer la fragilité de ce qu’ils échafaudent.
Voilà, en vérité, quelques semaines que le climat est, disons, interrogatif dans la finance mondiale. N’a-t-elle pas été trop optimiste ? Le plafonnement des cours de bourse depuis début septembre en est l’expression.
Première question : et si la reprise était plus faible qu’attendue ? Les marchés financiers et les banques ont tenu un discours très positif depuis mars dernier : dire que la récession était terminée allait dans leur intérêt, celui de faire reprendre un peu de couleur aux actifs toxiques encore détenus dans les coffres. La réalité a été conforme : grâce à l’Asie, la récession s’est en effet arrêtée au printemps en Europe et après l’été aux États-Unis. La croissance est de retour.
Mais avec quelle vigueur ? Les économistes ont été prudents, mais les marchés ont cru à une forte reprise, évoquant même un schéma en V. Aujourd’hui, ils doutent. Est-ce si sûr ? Les calculs macro-économiques outre-Atlantique montrent que toute la reprise est due aux plans de relance. Quand ceux-ci vont être démantelés, à mi-2010, quand on va retirer les béquilles, comment se portera le malade ? Doute. Les marchés ne savent pas et ils n’aiment pas ne pas avoir de direction.
Deuxième question : les fameuses dettes souveraines. Les pays industrialisés vont lever 15 000 milliards de dollars cette année et la suivante, pour financer les plans de relance. Une hausse de 30%. N’est-ce pas trop ? Ne faut-il pas commencer à y regarder de plus près, comme il aurait fallu le faire à Dubaï ?
Pour l’heure, les emprunts souverains sont considérés comme sans risque. Le marché des dettes publiques a été calme. Les cas d’États qui font défaut sont rares, comme la Russie ou l’Argentine. Dans la tourmente, les bons des Trésors sont des havres de sécurité. Pourtant, les marchés commencent à s’interroger. Ils fabriquent à tour de bras des «dérivés» pour se couvrir contre les dettes des pays qui feraient défaut (les fameux CDS).
Nous revoici dans la politique. Réapparaît le nez de Cléopâtre.
Le problème des dettes gigantesques laissées par la crise a été repoussé à plus tard. Attendons, avant de s’en préoccuper, que la reprise se confirme, soulignent le FMI (Fonds monétaire international), Obama ou Sarkozy. Ils ont raison.
Et puis, ce renvoi à l’avenir du paiement ne gênait pas trop la communauté financière, elle croyait s’en sortir par une politique de crête : «juste assez d’impôts» et «juste assez de retour de croissance» et tout ira bien, comme le dit justement Gilles de Margerie. Mais aller sur une crête, c’est risqué. Les aléas sont très nombreux : les contribuables accepteront-ils ? Les jeunes ne vont-ils pas se révolter contre cette dette qu’on leur laisse?
Les banquiers savent qu’ils ont reconstruit leur business sur une réponse optimiste à toutes ces questions. Dubaï a, un instant, mis le feu à ces scénarios roses. Un instant seulement puisque la chute a été vite enrayée. Mais il reste comme une odeur de brûlé…
cordialement | |
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